Cabinet Vloebergs

Hypnose pour enfants et adolescents

Thérapie par l'hypnose avec les enfants et les adolescents (approche ericksonienne) au cabinet de Richard Vloebergs à Aigle

En 1794, une jeune enfant de 9 ans dû être opéré d’une tumeur. Inutile de rappeler qu’à cette époque, les produits anesthésiants n’étaient pas encore utilisés. Pour distraire son enfant de l’opération, sa mère lui raconta une histoire. Captivé, l’enfant ne ressentie aucune douleur pendant toute l’intervention. Dix-huit ans plus tard, l’enfant publia l’histoire que sa mère lui avait racontée :

l’enfant s’appelait Jacob Grimm et l’histoire est celle de Blanche-Neige. (Karle,1988; Hunter, 2010 ; Burns, 2011)

Quelques domaines où l'hypnose sur enfants a démontré son efficacité :

  • Phobies et attaques de panique,
  • Les manifestations de l’anxiété́ chronique, 
  • La gestion du stress, 
  • La dépression infantile précoce, A
  • Les tics, 
  • Les troubles du sommeil, 
  • Les retards du développement et des apprentissages, 
  • Les troubles de l’attention et troubles perturbateurs, 
  • Les troubles du contrôle sphinctérien, 
  • Les troubles de l’attachement et anxiété de séparation, 
  • Les troubles de l’alimentation. 
  • Préparation aux compétitions sportives.
  • Préparation aux examens.

La technique des 3 dessins

Cette technique consiste à demander à l’enfant de choisir une peur ou un problème auquel il fait face (les yeux fermés ou bien ouverts). Puis la séance d’hypnose démarre, l’enfant est invité à laisser venir une image de sa peur ou de son problème à son esprit, à remarquer sa couleur, sa forme, ses dimensions. (Des crayons de couleur, des feutres et 3 feuilles de papier sont mis à la disposition de l’enfant). Lorsque l’enfant a cette image, on lui propose d’ouvrir les yeux et de la dessiner sur la page1. L’enfant peut fermer les yeux à nouveau, la séance d’hypnose se poursuit. Il est alors invité à laisser venir une image de comment c’est quand ça va mieux. On lui propose d’ouvrir les yeux et sur la page 2 de dessiner cette image, dessiner de quoi ce dessin-là̀ (le problème, la peur) a l’air quand « tout va mieux ». L’enfant peut fermer les yeux à nouveau, l’hypnopraticien poursuit la séance d’hypnose. On lui propose pour terminer de dessiner une image de ce qui va transformer le dessin 1 en dessin 2, en demandant à l’enfant de trouver un souvenir d’un moment où tout va mieux, et de laisser son corps se remettre dans cette position où tout va bien. L’enfant va ouvrir les yeux et dessiner cette image ou ces images sur la page 3.

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